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jeudi, 14 août 2008

Leisure Centre

Les lieux de loisirs préférés des français pendant les vacances d’été (en tous cas par chez moi !) :

1. La déchetterie.

Il devrait y avoir un concours, avec des prix, tout ça, et peut-être qu’il y aurait encore plus de monde…

 

D’abord, 5 points si vous êtes le premier à la trouver. Souvent le fléchage est erratique. Bon, dans ma ville il y en a trois ou quatre, alors si vous en manquez une, vous tombez sur l’autre.

 

A l’entrée un handicap en voie de disparition est la suspicion née de la lecture de votre plaque minéralogique par le responsable du site. Si vous venez d’un autre département, gare ! Il faut montrer patte blanche… (Je suis contente de trouver enfin un intérêt à la suppression prochaine des n° de départements sur nos voitures.)

 

Puis trouver une place sans érafler les divers véhicules utilitaires, 4x4 ou remorques déjà garés dans une logique approximative. 5 points.

 

Temps de vidage de votre coffre : de 1 à 5 points.

 

Mais attention, il y a des pénalités ! Il ne faut pas se tromper de container…

 

 Il y a d’abord celui devant lequel personne ne semble s’affairer, mais où une subtile petite grille blanche est censée vous faire comprendre que c’est « FERME ! » comme vous le crie aimablement un employé reconnaissable à son seyant pantalon du même tissu que les gilets qui occupent à présent nos boîtes à gants.

 

Et puis il y a des nuances que seuls les habitués maîtrisent sans doute : DIVERS – INCINERABLES – CARTONS . Le profane se demande : « les cartons sont-ils incinérables ? » (adjectif d’ailleurs refusé par mon correcteur d’ortographe…). Les vitres vont naturellement dans « DIVERS » (dix verres ?) Mais la vieille truelle rouillée, que vous vous apprêtiez à y ajouter, va, elle dans les « METAUX »… bien qu’ayant un manche en bois. Tous comptes faits et après bien des hésitations, vous n’êtes donc pas sûr de gagner !

 

Mais comme disait l’autre, l’important, c’est de participer et surtout de ressentir à la fin de notre équipée la satisfaction du devoir accompli, suivie de celle de pouvoir contempler la vacuité nouvelle et encourageante de notre cave ou notre grenier.

mercredi, 13 août 2008

Souvenir de vacances

On l'a mangé hier. Un souvenir de vacances qui prolonge le plaisir.

http://www.banon-aoc.com/presentation.html

mardi, 12 août 2008

J'aime les soirs de vacances

Pendant l'année scolaire, le soir, je termine de bosser pour le lycée vers 20 heures, ensuite, j'ai faim et je suis crevée, soit je m'installe devant une connerie à la télé, vu que mon cerveau ne peut plus être efficace, soit je blogue (le plus souvent) et ça me détend, mais je sais que je loupe des choses intéressantes au ciné, ou sur certaines chaînes qui malheureusement proposent des programmes intelligents, mais tardifs. C'était le cas sur ARTE hier soir. Mais pour une fois, j'ai pu regarder en entier, sans bailler une seule fois, et profiter de ce reportage passionnant et émouvant sur Daniel Barenboïm et son projet monté en collaboration avec Edward Saïd : un orchestre de jeunes arabes et Israëliens, qui ont travaillé ensemble durant six ans, ont d'abord fait des concerts en Europe, puis au Maroc, et puis, but final, qui paraissait totalement utopique au début, à Ramallah en Cisjordanie ! Il faut voir ce reportage.

Une partie du concert est en vidéo sur le site d'ARTE : http://plus7.arte.tv/fr/detailPage/1697660,CmC=2146754,sc...

Malheureusement, il n'y a pas de rediffusion de l'émission elle-même. Pour que vous regrettiez de ne pas avoir regardé : http://www.arte.tv/fr/semaine/244,broadcastingNum=862757,...

 Et j'en profite pour dire que Valse avec Bachir passe encore dans les salles de province. Si vous l'avez manqué, foncez !

En première partie de soirée, on s'est regardé un DVD : Head on (en allemand Gegen die Wand). Un choc, genre tragédie grecque, mais ici, tragédie turque. La (ou les) question posée : A quelle culture appartient-on quand on est immigré ? Le retour aux racines peut-il empêcher de tomber dans la folie ? L'amour peut-il empêcher de mourir, donner un sens à la vie ? Et bien d'autres encore. Ce film est sorti en 2004, quand Pascale n'avait pas encore son blog, c'est pourquoi il n'est pas dans ses archives, mais je suis sûre qu'elle l'a vu.

Des soirées comme ça, ou comme celle de ce soir, apéro dinatoire avec les copines, j'en redemande !

lundi, 11 août 2008

AUTRES ASPECTS DE MES VACANCES

On s'était dit qu'on dormirait à Lyon pour éviter les bouchons et qu'on se promènerait sur les Quais de la Saône. Mais ce jour-là, il a plu comme cheval qui pisse (on dit plein de trucs sur le sud, c'est que de la propagande !), et vu qu'on était claquées on est restées dans notre Mâgnifiiiiiiique Etapotel et on a mangé au Courtepaille, comme quand j'étais petite !

Le lendemain, en principe, on n'avait qu'une heure et demie de route pour finir le trajet. Mais comme ma copine clown avait trouvé gaguesque de nous inviter à fêter ses 50 ans le 2 août, weekend le pire qui soit du chassé-croisé des touristes, on a mis un peu plus... Faut dire que sur l'itinéraire ter de l'itinéraire bis, y'avait des voitures qui roulaient derrière des arbres, alors comment voulez-vous qu'on avance ???

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Sinon, on a goûté le luxe d'une piscine écolo en plein coeur de la Drôme, bassin de roseaux attenant et paysage grandiose en nageant !

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Et le non moins luxe des rivières où pour une fois l'eau coulait. Z'avaient pas dû non plus avoir un beau printemps les sudistes ! C'était vert comme jamais !
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dimanche, 10 août 2008

Promenade de vacances

« PANIQUE A OK CORRAL ! » ADMV m’a dit d’ajouter ça pour faire venir les lecteurs…

Durant la journée le soleil frappait fort, et trouver un coin d’ombre, confortable sur les pierres plates près de la rivière où cette année exceptionnellement le courant était assez important pour former des piscines pour chaque niveau de compétence, relevait de l’exploit, voire du privilège. Alors, quand l’idée fut lancée de descendre à pied à la table d’hôtes pour déguster un repas de fin de vacances, personne ne refusa, se disant qu’au moins l’effort ferait mériter les délices offerts. Vingt-cinq minutes de marche, ce n’est rien quand les enfants courent devant, armés du talkie-walkie, et que l’on bavarde tranquillement. Remonter au gîte le soir, est même tentant, dans la nuit noire, puisque, ne campant pas, on n’a pas pensé à mettre une lampe de poche dans la valise. Tout le monde prolonge de bavardages divers ce repas arrosé, et quand Ed et ADMV prennent congé, en raison des huit heures de route du lendemain, elles sont presque contentes de repartir à deux, dans l’intimité de la nuit. Elles cheminent se rappelant mutuellement leurs expériences de promenades nocturnes de leur jeunesse. Les étoiles sont très visibles, mais la lune, extrêmement basse et grosse d’un quart seulement, se cache derrière les arbres. On devine à peine le chemin goudronné, désert dans le sous-bois. Soudain, devant, à quelques mètres à peine, une cavalcade. Pas humaine, de toute évidence. La lourdeur du bruit, puis le grognement, font deviner les sangliers. Elles s’arrêtent. Respirent à peine, se tiennent par la main, serrée. ADMV chuchote à Ed de se placer contre elle, contre un arbre. Mais l’arbre le plus proche est bien maigre ! Ed ne peut poser son second pied à cause du bruit. Elle regrette d’avoir mis son pull blanc au lieu de sa polaire noire. Le sanglier se rapproche. Gronde, exactement comme un chien très en colère, plus même ! Sa respiration est tellement présente ! Les feuillages et les frêles arbres qui bougent indiquent son déplacement, mais Ed a beau regarder, elle ne le voit pas, n’aperçoit pas ses yeux. D’ailleurs, le souhaite-t-elle ? Il semble qu’il n’y ait qu’à peine deux mètres pour les séparer. Dix longues minutes passent. Ed envisage le pire que pourrait lui faire le sanglier. Se demande si c’est le mieux de ne pas bouger, ou s’il aurait fallu s’en aller tranquillement dès le début. La bête se lasse et semble s’en aller. Ces deux humaines ont dû finalement lui paraître inoffensives. Alors Ed et ADMV reprennent leur marche, le pied d’appui très endolori et plein de fourmis pour Ed, essayant de faire le moins de bruit possible. Elles ont accéléré et en cinq minutes à peine ont atteint le parking du gîte. Ed a pris la voiture, est partie chercher le reste du groupe qui montait avec les trois enfants, et il n’y a pas eu à insister beaucoup pour qu’ils grimpent à bord. Le mot « sanglier » a suffi.

 

 

vendredi, 08 août 2008

Il a 71 ans

Devinez lequel de ses films j'ai vu en premier, combien j'en ai vu, celui que j'ai préféré, et celui qui avec le recul me plait le moins.

(Je me suis référée pour répondre à la liste ouiki !)

 

mardi, 05 août 2008

Des petites choses qui valent beaucoup d'argent

Quand vous achetez une petite culotte, vous pensez bêtement au confort, au look, au côté sexy et affriolant, à la qualité éventuellement pour qu'elle vous dure quelques années. Mais il faut penser à plus long terme ! Imaginez que votre petite culotte "mnprix" sera peut-être vendue aux enchères dans 120 ans ! Ne négligez pas votre descendance, ou les heureux héritiers de ceux qui auront racheté votre maison. Vérifiez que l'étiquette ait des chances d'être encore lisible d'ici un siècle !

La Reine Victoria était une femme prévoyante dont les dessous font encore faire fortune à certains.

Je me demande : les dessous des rois et hommes politiques font-ils autant recette ?

samedi, 02 août 2008

Qu'est-ce que c'est ?

Savez-vous ce que c'est ? J'en utilise depuis plus de 25 ans, et je n'en ai vu pour de vrai que cette semaine. Maintenant que j'en ai acheté, je vais fureter sur internet pour savoir comment m'en servir sous cette forme.

jeudi, 31 juillet 2008

Demain, on s'casse.

En vacances depuis le 9 juillet, j'ai surtout fait du terrasse-farniente et du leisure-blogging. ADMV n'est pas prof, et à part le weekend à Chalon, pas question de partir longtemps en juillet. Mais ça y est, son boss la lâche, et on peut partir vers d'autres contrées où soi-disant le soleil brille plus qu'ici. Ca m'étonnerait en ce moment, parce que justement depuis dix jours, dans ma moitié nord, ça tape !

Samedi on fait la fête pas loin de Dieulefît pour les 50 ans d'une amie qui réunit tout plein de gens, dont bcp sont siciliens et/ou intermittents du spectacle, en majorité clowns, ça promet une ambiance à part ! Ce qui est con pour moi, c'est que je suis sous antibio à cause de ma dent, et qu'il parait qu'il ne faut pas mélanger à l'alcool. C'est pas que j'abuse d'habitude, mais bon, boire un petit coup avec mes potes, c'est un minimum quand je fais la fête...

Mon antibio s'appelle Rodogyl. Ca m'a fait penser à une devinette :

Monsieur et Madame Rodogyl ont un fils, ils l'appellent comment ?

Les vacances dans la Drôme pour moi, ça veut dire pour vous, pas ou peu de notes à lire ici. Je vais essayer d'en planifier qqunes, mais je ne me suis pas très bien organisée cette année. Mille excuses.

C'est super, j'ai trouvé un jeu tout fait sur gougueule images !!! Mais je n'ai pas la réponse. A votre avis, c'est laquelle ?

Je serai de retour vers le 10/11. Ne ratez pas ce rendez-vous !

mercredi, 30 juillet 2008

AUJOURD'HUI

Il m'arrive aujourd'hui quelque chose dont je ne pensais même pas, enfant, que ça m'arriverait, c'était autant de la Science Fiction que 1984 ou Star Trek : J'ai 50 ans. Quand j'ai commencé à bosser, les collègues de cet âge-là me paraissaient des ancêtres. Aujourd'hui, ils profitent de leur retraite depuis leurs 60 ans, et ça, je suis sûre que cela ne m'arrivera pas. J'ai fait le bilan hier soir et sur ces cinquante années, je peux dire que les 18 de mon enfance (oui, j'inclue l'adolescence dans l'enfance, ça doit être l'effet du recul) ont été heureuses. Quant à l'âge adulte, 32 ans donc, 16 ont été parfaitement réussies. Je peux donc être satisfaite. L'avenir reste toujours aussi énigmatique pour moi. Je l'emplis de rêves, de projets. C'en seront peut-être de totalement différents qui se réaliseront. En tous cas c'est exactement comme ça que ça s'est passé jusqu'ici.

A 14 ans je rêvais d'être hôtesse de l'air, d'apprendre le chinois, d'aller au Canada, de vivre dans un mobilier hyper-design. Je pensais encore que j'allais me marier. 4 enfants me paraissait le nombre idéal. J'avais hâte d'avoir le droit de vote pour changer le monde. J'avais une trentaine de correspondants dans le monde entier et j'étais persuadée que je vivrais à l'étranger.

Ma vie, c'est pas ça du tout, mais c'est pas mal non plus. Alors ma conclusion, c'est qu'il faut rêver, mais accepter que les choix que fait l'adulte qu'on devient ne soient pas forcément ceux de nos 15 ans. Il ne faut pas être déçu. Ce sera encore mieux.

Essayant de m'imaginer ce que je serais plus vieille encore, je suis allée sur ce site :

http://morph.cs.st-andrews.ac.uk/Transformer/

Je ne suis pas vraiment convaincue par le vieillissement qu'ils proposent. A part avoir l'air un peu plus grise, je ne vois pas grande différence. Mais essayez de voir à quoi vous ressembleriez si vous étiez d'un seul coup africain ou asiatique. Moi, c'est asiatique qui me va le mieux !

Je fais champagne dansant sur ma terrasse ce soir. Si vous voulez passer !

mardi, 29 juillet 2008

Le monde est fou

Je lis parfois la rubrique "insolite" dans Yahoo. On y apprend des trucs formidables ! Il y a des fous partout, et pour tous les goûts.

Des chinois ont essayé d'apprendre à conduire à leur caniche sur la voie express.

Un américain a tiré avec sa carabine sur sa tondeuse à gazon, parce qu'elle ne voulait pas démarrer.

Une nana de 16 ans a déjà participé à 7 braquages. Au début de l'article, on l'appelle "jeune fille", à la fin "jeune femme". Filles de France, braquez des banques et on vous considérera comme une femme !

Des néo-zélandais avaient appelé leurs jumeaux "Benson" et "Hedges".

Un médecin espagnol réputait filmait ses patients "people" pendant qu'ils étaient aux toilettes.

En Italie, un Luna Park avait comme attraction à succès une chaise électrique montrant l'exécution d'un mannequin.

Allez lire vous-même. Rien n'est inventé.

 

 

 

 

dimanche, 27 juillet 2008

IMAGINEZ

Imaginez qu'il y ait eu une révolution, et que notre société ne soit plus du tout celle que l'on connait. On vient de créer un nouveau panneau. Que signifie-t-il ?

obl.jpg

La réponse dans ce rébus fait de photos et d'infosà propos de communes de France dont je vous donne le département. A vous de retrouver les noms de ces villes.

(32)Mr Armand Jeannot en est le maire (21)  (15)  (08)

SETE (Cette) - FOISSY (fois-ci) - FAU (faut) - FUMAY (fumer)

Oui, les panneaux sur fond bleu sont pour les choses OBLIGATOIRES !

Et en prime la photo d'ADMV se jetant soi-disant sauvagement sur Hervé. C'est bien de celle-là que tu parlais ? J'ai laissé tomber le flou gaussien et la mosaïque pour le tourbillon. Qu'en dites-vous ?

Hervé et Sploutch copie.jpg

15:55 Publié dans Jeux | Lien permanent | Commentaires (34) | Tags : vive la vie, vacances, jeux, fun

samedi, 26 juillet 2008

Un reste de cirque

Dans la Cour de la Maison des Associations, si belle en soi,100_2767.jpg et où j'avais vu un si beau spectacle l'an dernier, j'ai revu cette année encore quelque chose qui m'a plu. 100_3982.jpgToute la cour parlait italien, mangeait et buvait italien, et donnait des spectacles en italien ! Et à la fin du spectacle on nous a offert cette petite balle verte, qui nous éclaire encore. C'est magique.

100_4054.jpg100_4055.jpg

SI J'ETAIS...

Pascale nous a proposé un portrait chinois cinématographique. Je m'y suis collée, essayant vraiment de répondre dans l'esprit de ce jeu, c'est à dire, pas forcément ce que je préfère, mais, ce qui me ressemble. Pour certaines questions, j'ai eu du mal, il aurait fallu que je revisionne tous les films, certaines scènes ou détails m'échappant. En attendant, découvrez-moi (peut-être) et répondez à ce portrait chinois si le coeur et le temps vous en disent !

Un film : Tumultes de Bertrand Van Effenterre

Une réalisatrice : Coline Serrault

Une histoire d’Amour : When Night is Falling de Patricia Rozéma.

Un sourire : Celui de Moogli dans Le Livre de la Jungle de Disney.

Un regard : Celui d’Annie Girardot dans tous ses films, de sa jeunesse aux plus récents films. Je me suis toujours espérée devenir adulte avec un regard comme ça.

Un acteur : Pascal Légitimus

Une actrice : Agnès Jaoui

Un début : Le dessin animé d’ouverture dans « Qui Veut la Peau de Roger Rabbit ? »

Une fin : Le Salut sur scène du Dernier Métro.

Un générique : Hope and Glory ou Philadelphia.

Une scène-clé : La leçon d’acteur donnée par Belmondo à Richard Anconina dans L’Itinéraire d’Un Enfant Gâté.

Une révélation : Juliette Binoche dans L’Insoutenable Légèreté de l’Etre.

Un gag : Colette Brosset traînée par son chien dans La Belle Américaine.

Un fou rire : Le mien quand je regarde les Tontons Flingueurs. « Y’a d’la pomme ».

Un rêve : Etre capable de réaliser un film d’animation aussi fort que Persepolis ou Valse avec Bachir.

Une mort : Je ne peux me représenter en aucune mort. Une vie, oui ! (Pourquoi y’est pas cette question ???) Vivre la vie de Charlie dans Charlie et la Chocolaterie !

Une rencontre d’actrices : Catherine Deneuve et Fanny Ardant enlacées dans Huit Femmes.

Un baiser : Ce serait sûrement un baiser entre deux femmes, mais à part re-citer When Night is Falling...

http://fr.youtube.com/watch?v=wv5_g26fSvI&feature=rel...

Une scène d’amour : La première scène d’amour dans 37°2 le Matin.

Un plan séquence : Une femme marche sur la plage, se déshabille, et plonge. C’est celui que je tournerais…

Un plan tout court : Denis Podalydès faisant des châteaux de sable et parlant avec sa sœur sur la plage dans « Petits Arrangements avec les Morts »de Pascale Ferran.

Un choc plastique en couleurs : Le 5ème Elément, et les films de Bilal.

Un choc plastique en noir et blanc : Metropolis.

Un artiste sous-estimé : Robin Renucci

Un artiste sur-estimé : Jean Reno

Un traumatisme : La fin de Thelma et Louise. Je n’ai jamais pu revoir ce film. Et le viol dans l’Amour Violé de Yannick Bellon (1977)

Un gâchis : Tous les films de Sandrine Veysset après « Y aura-t-il de la Neige à Noël ? ».

Une découverte récente : Tu Marcheras sur l’Eau et The Bubble de Eytan Fox  

Une Bande Originale : Deux, en fait : La Double Vie de Véronique et Les Caprices d’Un Fleuve.

Un somnifère : Beaucoup de films chinois, (pardon à la famille, comme dirait Pascale, et ils sont nombreux !) Désolée, quand je dors, je ne me rappelle pas des titres.

Un frisson : Le Cercle Infernal de Richard Loncraine (1977) avec Mia Farrow. (Première vraie terreur au cinéma, que je revis à chaque fois que j’ai peur.)

Un monstre : Hulk, parce qu’il n’est pas toujours un monstre… (Mais le seul, le vrai, celui de la série télé).

Un torrent de larmes : L’incompris de Luigi Comencini (1967, vu en 1976)

 

vendredi, 25 juillet 2008

Comme mon activité sur mon blog ne le prouve pas...

Sur mon blog ça bouge à un rythme d'enfer ; on a rattrapé le retard du nombre de com's dû au festival de Chalon ; je carbure pour inventer des jeux ; je réponds si vite à vos interventions nombreuses et pertinentes qu'on pourrait croire que je reste les fesses collées à ma chaise de bureau et les yeux rivés sur l'écran. Mais non ! Je m'active et je fais des petites pauses très courtes pour ne pas perdre le fil. Depuis deux jours j'ai été particulièrement active je trouve. J'ai tondu la pelouse, lancé (pas trop loin) et étendu trois lessives et fait le ménage à fond, parce qu'un copain d'ADMV venait aujourd'hui (quand on me prévient longtemps à l'avance, j'ai le temps de faire le ménage !) donner un concert dans MAVILLE. ADMV a des potes célèbres. Remarquez, moi aussi, la semaine prochaine, c'est un pote à moi qui vient. Hier j'ai été réveillée par le téléphone. OK, c'était une heure raisonnable pour se réveiller : 9h30. Mais c'était mon cousin conservateur de musée, et dès qu'il parle je ne comprends pas tout. Alors, au réveil, c'était plutôt space. Je lui parle Chalon dans la Rue, il me répond congrès archéologique ; je lui mentionne Givry, il me répond église, halle au grain. Il me raconte le mariage auquel je ne suis pas allée à Dax. J'ai bien fait, il a plu tout le temps. Et surtout il me donne les consignes pour une traduc qu'il me demande de lui faire. A part le jardinage, hier, j'ai trié des papiers, ça, c'est jamais fini, et j'ai essayé de comprendre les explications données sur le blog hautetfort où zapette et moi on s'est croisées l'autre jour, mais ça doit être une langue étrangère que j'ai pas apprise à l'école, j'ai du mal ! Ce matin, je me suis réveillée toute seule sans coup de fil à 7 h 30 et j'ai pu faire et le ménage, et les courses. A 13 h 30 je suis allée chercher ADMV à la gare ; j'avais même eu le temps de faire à manger, et de lire quelques pages de mon nouveau bouquin : Altyn Tolobas, de Boris Akounine. C'est un polar russe, Georgien d'ailleurs. Ca a l'air vraiment bien. Six mois que je l'ai et voilà seulement que je le commence ! A 15 h 15  on est parties au concert et on pensait être en avance vu que ça commençait à 16 h, mais c'était compter sans les retraités qui assiègent l'entrée une heure et demie avant ! C'était dans une église. On a quand même réussi à être au septième rang, et j'ai vu et entendu correctement, bien que n'étant pas au milieu. C'est un peu ridicule, tous les gens devant portaient des sonotones, donc là ou derrière, ça changeait rien pour eux ! Après le concert, le copain d'ADMV, pianiste de son état, est venu à la maison grignoter les toasts, dips et salade de fruits que j'avais préparés et vient de repartir à l'autre bout de la France. Et nous allons commencer vraiment notre weekend !

Mince, j'avais dit que je ferais une note sur l'hôtel ! Ca sera pour une autre fois... ou jamais.

TROUVEZ LE LIEN

QUEL EST LE LIEN ENTRE CES TROIS PERSONNAGES CELEBRES  ?

Jean de la Fontaine, Julien Gracq et Max Jacob.

jeudi, 24 juillet 2008

Vous êtes trop forts !

Même règle que pour le jeu précédent, mais cette fois il s'agit de personnalités politiques, françaises ou étrangères, connues ou moins, vivantes ou moins...

1. DELORS en barres, c’est tout ce qu’on souhaite ! (Well done again, Vil !)

2. AUBRY on compare souvent le camembert, mais c’est pas la même chose. (Bravo Vil !)

3.TAPIE de bain ou brosse, ils ont tous leur utilité. (Hervé ne vient pas souvent, mais quand il passe, il gagne !)

4. ROYAL de luxe, c’est une grande compagnie de spectacle de rue. (Débusqué par Agla !)

5.VALS de là, j’ai besoin de la place.

6. BARRE ou BUSH toi d’là, j’ai besoin de la place. (Trouvé par Vil. Barre ça fait un moment qu'il s'est barré.) (Le débile US trouvé par zapette ! Confirmé par Pascale, au nom du Père !)

7. OBAMA, j’ai rin à dire ! (You're a genius, zapette !)

8. CASTRO carabinée, aux toilettes toute la journée… (Caramba ! C'est encore Agla. Bravissimo !)

9. LANG de pute ! (Trouvé par Vil en un temps record. Aucun rapport avec l'actualité, évidemment...)

10. BLAIR witch project. (Encore zapette ! Ben Pascale, c'était pas une question ciné, ça ?)

 

CA Y EST VOUS AVEZ TOUT TROUVE ! VOUS ETES DES CHAMPIONS !

Tapez vite vos réponses, un super-clic, et vous êtes le ou la gagnant(e) ! (Trop tard !!!)

Encore plus fort !

Si vous ajoutez le nom ou le prénom et le nom d'une personne célèbre devant ce segment de phrase, vous obtiendrez une phrase entière ayant un sens.

1. PAUL PER SONNE  - MENDEL SONNE toujours deux fois comme le facteur. (Musicien) ( 1ère réponse trouvée par zapette, et la 2ème, la vraie, trouvée par Pascale !) Et encore mieux par Ziquette : Harry Sonne !

2. GUILLAUME CANET et on l’enterrait. (Acteur) (Pascale et Vil ex-aequo. Si, si, Pascale, ça sert à rien de râler !)

3. CHOPIN seul microbe et t’es malade ! (Musicien) (Trouvé par Ziquette )

4. AIME CESAIRE que je vais vous chanter. (Poète-Essayiste) (Trouvé par Ziquette, encore !!!)

 

07:35 Publié dans Jeux | Lien permanent | Commentaires (37) | Tags : vive la vie, jeux, fun, difficile

mercredi, 23 juillet 2008

UN JEU !!!

QUELLE SYLLABE DOIT-ON AJOUTER AU NOM OU AU PRENOM DE CHACUNE DE CES PERSONNES POUR OBTENIR UN MOT QUI VEUT DIRE QUELQUE CHOSE . C'EST UN MOT DIFFERENT A CHAQUE FOIS, MAIS LA MEME SYLLABE.    

   

 

Je veux la syllabe et les trois mots !!!

16:03 Publié dans Jeux | Lien permanent | Commentaires (31) | Tags : vive la vie, jeux, pour rire

Ce qu'on voit à Chalon dans la Rue

Il y a plusieurs catégories d'artistes à Chalon dans la Rue. Je vais essayer de vous présenter ceux dont j'ai pris des photos. C'est plus parlant. D'abord, LES CLOWNS :

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Vous les avez reconnus ? Ce sont mes potes de la Drôme, la Compagnie Zafourire, j'en ai déjà parlé. ADMV n'avait pas encore vu le spectacle, elle a été pliée en deux d'un bout à l'autre.

Ensuite, les ACROBATES, contorsionnistes, etc. Des gens qui nous épatent, surtout quand ils savent allier à leurs compétences, la danse, la mise en scène, l'humour... 100_3981.jpg

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Et puis, les FUNAMBULES. Ici vous voyez Camélia, personnage créé par Lucie Boulay de la Compagnie Le Boustrophédon. Eux aussi je vous en ai déjà parlé. La "petite" sur le fil, là, je la connais depuis 21 ans ! Si, si.

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Les MAQUILLEURS, qui font rêver surtout les petits, leur laissant croire un moment qu'ils sont un autre personnage.  

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Les DANSEURS. Je n'en ai vu qu'un spectacle, mais il était magique. Je vous donne aussi le lien du site pour que vous puissiez rêver si Claire passe dans votre région.

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Les MARIONNETTISTES, en tous genres, gentils, gores, déjantés... (J'aurais pu remettre une photo de Camélia...)

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Les MUSICIENS. On a entendu du "Slave/Balkan/Funk", mais aussi de joyeux poètes qui se promenaient. Les Dormeurs du Bal. (A droite, c'est le pianiste de Camélia, qui accompagne aussi Pétule, une autre marionnette.)

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Les DEAMBULATEURS. Ceux-là ils ont des personnages qui en général ne parlent pas mais se déplacent dans la ville en adaptant leur gestuelle aux réactions du public et à l'environnement.

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Les SPECTACLES PYROTECHNIQUES. Quand il s'agit d'une déambulation, c'est encore plus magique. La surprise en allant reprendre la voiture au parking.

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Les ACTEURS. Le "théâtre" de rue, c'est en fait ce à quoi j'accroche le moins. Parfois ça se prend trop au sérieux, et ça jargonne devant un public qui n'en a rien à faire, d'autres ça fait bâclé, et souvent ça cause trop de toutes façons. Mais y'a un spectacle qui nous a plu, sans nous enthousiasmer, c'est celui-ci. Deux blondes tout droit sorties d'une série américaine. Déjanté, un brin provoc, distrayant.

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Chalon organise un spectacle "IN". Les compagnies sont nourries, logées, défrayées, payées même peut-être. (je ne sais pas en fait) et un festival "OFF". On fournit aux compagnies un espace, l'électricité si besoin, mais aucun remboursement de frais ou paye. Comme je l'ai dit dans ma note précédente, ça leur rapporte peu en argent, mais beaucoup en contacts, en futurs contrats peut-être, et en plaisir de jouer surtout.

Et puis il y a ce que j'appelle le "OFF du OFF". Des gens qui arrivent comme ça, non programmés et qui trouvent un lieu, un public et se produisent. Ils sont parfois très bons, parfois débutants, mais toujours sympas.

Sauf ceux-là, qui déambulaient par groupes de huit, sans l'ombre d'un signe d'humour et gâchaient vraiment le paysage avec une impression d'inutilité. Ils auraient au moins pu décorer leurs chars !

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Certains déambulateurs (des vraies) s'en servaient. Ici "Les Gardes du Corps" qui "protègent" assidument les deux fliquettes municipales.

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A Chalon la presse locale, qui défend néanmoins le festival, s'empresse de publier les avis de certains autochtones qui déplorent la saleté des festivaliers, qui ont peur de la violence, de la drogue, du bruit, qui, à l'instar de certains commerçants qui ont été très désagréables (pas tous, il y en a qui comprennent bien l'aubaine qu'est un tel évènement, qui ne dérange même pas les horaires de marché !),  voudraient le beurre, l'argent du beurre, et que la fille du crémier ne s'asseoit pas sur leur trottoir pour pique-niquer ou lire son programme...

 

mardi, 22 juillet 2008

BON, ALLEZ, UN JEU !

Puisque je vais à la pêche aux coms et que vous m'en réclamez, voici un jeu :

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Qu'est-ce que c'est ? Où est-ce ?
(Pascale, t'as vu ? Ma photo est grande direct !)
SOLUTION
UN PORTE-MANTEAUX
La preuve :
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POUR REUSSIR SON FESTIVAL

LE MEMENTO DU PARFAIT FESTIVALIER :

LA BASE

- Etre bien chaussé. Choisir des sandales, ou des chaussures légères. J'ai testé, la tong épuise. Ne pas oublier que l'air de rien on parcourt des kilomètres dans la chaleur, et donc le pied doit être traité avec douceur et aéré comme il se doit.

- S'équiper d'un sac à dos souple (il doit pouvoir quasiment être extensible et accueillir moult objets, un peu à la manière de celui de Mary Poppins !), léger à vide.

                           

- Ne pas oublier un coussin. Surtout après 40 ans. le côté spartiate, avec l'âge on oublie, et le pliant gêne les spectateurs derrière nous. Donc pensez à votre confort, à vos fesses, mais n'oubliez pas que c'est assis par terre que l'on regarde les spectacles à Chalon.

- Un chapeau est indispensable. A Chalon, le troisième weekend de juillet, il fait toujours beau. Et ce weekend n'a pas fait exception. L'insolation nous guettant tous, il est préférable d'avoir une protection pour notre tête, nos yeux et notre nuque ! Dans le même ordre d'idée, vous prévoierez des lunettes de soleil et de la crème solaire. Le festivalier arrive en avance au spectacle et reste donc assis au soleil très longtemps.

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- Achetez le programme tous les jours, cela fait vivre le festival et vous permet d'organiser votre journée. Autour d'un euro par jour, cela reste raisonnable. Quoiqu'à Chalon, en même temps vous êtes obligés de prendre la totalité du Journal de Saone et Loire que vous ne lisez pas, et cela encombre les poubelles. Mais argent rime avec gaspillage, comme le prouve la presse locale...

- Prévoyez de la monnaie. Les spectacles sont gratuits, mais quand on aime on ne compte pas, et vu la qualité de ce que l'on voit, si on a ri, pleuré, aimé, il est juste de jeter un ou deux euros dans le chapeau !

POUR LE DJEUN'Z BRANCHE :

Ne pas être coiffé comme tout le monde. Ou plutôt, si. Avoir la même coupe "branchouille, cirqueuse" que tous les djeunz !

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- S'habiller de manière voyante. Il faut avouer que c'est pratique si vous ne voulez pas perdre vos potes et qu'ils vous aperçoivent de loin.

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- Porter des tatouages. Discrètement, tapageusement, esthétiquement, comme vous voulez, où vous voulez, mais, le tatouage, ça l'fait !

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DERNIER CONSEIL POUR TOUT LE MONDE

Vous pouvez y aller seul, à deux, en famille, en groupe... Mais sachez que tout le monde n'a ps les mêmes goûts. Alors ne perdez pas votre temps à tous vouloir voir la même chose, donnez vous des temps libres, et des points de rencontres pour un pot ou une glace.

 

jeudi, 17 juillet 2008

A MARDI !

QUELQUES ANAGRAMMES POUR VOUS OCCUPER PENDANT QUE JE NE SUIS PAS LA:

1. L'art animé (Nom) 2. Beau chat radin (Nom) 3. Ogre de sang (Prénom et Nom) 4. Tondeuse d'Alpha (Prénom et Nom) 5. Acre sot (Nom) 6. Car le mot ment (Prénom et Nom) 7. Me reposer prime (Prénom et Nom) 8. Rôtis de dinde (Prénom et Nom)

Sous ces "titres" se cachent des noms d'écrivains célèbres. Bien classiques ma foi. Je suis sûre que j'aurai à vous féliciter à mon retour.

19:00 Publié dans Jeux | Lien permanent | Commentaires (31) | Tags : vive la vie, vacances, absence

Actualités

J'ai lu ça sur Yahoo Actualités :

Les députés adoptent le texte sur le service minimum à l'école

Que les élèves qui passent par ici se rassurent. Le service minimum à l'école, ce n'est pas à eux qu'on le demande.

mercredi, 16 juillet 2008

J'ai pas quatre bras !

J’ai lu que des pieuvres jouent au rubik’s cube en Angleterre.

 

Cela pourrait parait-il les déstresser pendant leur captivité, du fait qu’on puisse repérer leur tentacule favorite et leur donner à manger de ce côté-là. Mais la réduction du stress viendra-t-elle de là, ou du jeu lui-même ? Les scientifiques ne semblent pas avoir évoqué cette éventualité. Ils devraient ensuite leur proposer des boules antistress chinoises qui tintinnabulent légèrement, ou un coussin aux huiles essentielles.

 

J’ai réussi à « terminer » mon rubik’s cube en 1981 au bout de plus d’un mois de manipulation : dans le train, dans le métro, dans une salle d’attente d’hôpital, puis finalement dans ma chambre à mon arrivée en Angleterre, dans une famille d’écossais, où la principale occupation était d’ingurgiter bière et chips. En y réfléchissant, on me tendait peut-être bien le paquet du côté droit, qui est mon côté de prédilection (quand il ne s’agit pas de politique évidemment).

 

J’ai lu qu’on allait donner un mois aux pieuvres pour venir à bout du casse-tête. Mince ! c’est moins qu’il ne m’en a fallu… Mais, bon, je ne faisais pas que ça non plus. Et je n’avais que deux mains.